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Poulain de l’Ontario positif pour la gourme

Une pouliche de 60 jours de la municipalité régionale de York, en Ontario, a été confirmée positive pour la gourme. La pouliche a développé des signes cliniques le 10 mai, notamment un gonflement des ganglions lymphatiques rétropharyngés. Elle a été référée à un hôpital équin en détresse respiratoire. La pouliche se remet maintenant et le propriétaire de l’établissement travaille avec son vétérinaire sur les restrictions de mouvement volontaires.

EDCC Health Watch est un programme de marketing du réseau équin qui utilise les informations du Centre de communication sur les maladies équines (EDCC) pour créer et diffuser des rapports vérifiés sur les maladies équines. Le EDCC est une organisation indépendante à but non lucratif qui est soutenue par des dons de l’industrie afin de fournir un accès ouvert aux informations sur les maladies infectieuses.

À propos des étranglements

La gourme chez les chevaux est une infection causée par Streptococcus equi sous-espèce équi et se propager par contact direct avec d’autres équidés ou des surfaces contaminées. Les chevaux qui ne présentent pas de signes cliniques peuvent héberger et propager la bactérie, et les chevaux récupérés restent contagieux pendant au moins six semaines, avec le potentiel de provoquer des épidémies à long terme.

Les chevaux infectés peuvent présenter divers signes cliniques :

  • Fièvre
  • Ganglions lymphatiques enflés et/ou abcédés
  • Écoulement nasal
  • Toux ou respiration sifflante
  • Gonflement musculaire
  • Difficulté à avaler

Les vétérinaires diagnostiquent les chevaux en utilisant des tests de réaction en chaîne par polymérase (PCR) avec un prélèvement nasal, un lavage ou un échantillon d’abcès, et ils traitent la plupart des cas en fonction des signes cliniques, en mettant en œuvre des antibiotiques pour les cas graves. L’utilisation excessive d’antibiotiques peut empêcher un cheval infecté de développer une immunité. La plupart des chevaux se rétablissent complètement en trois à quatre semaines.

Un vaccin est disponible mais pas toujours efficace. Les mesures de biosécurité consistant à mettre en quarantaine les nouveaux chevaux dans une installation et à maintenir des normes élevées d’hygiène et de désinfection des surfaces peuvent aider à réduire le risque d’éclosion ou à en contenir une lorsqu’elle se produit.

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